
Sur le sombre océan des individualismes mornes dérivent nos coeurs enamourés.
L'orpheline Déraison, unisson des Harmonies Vierges et du tonitruant Chaos, sonde nos âmes abyssales de sa lancinante complainte.
Parmi l'écume informe des solitudes, elle chante nos vies, déserts sans soleil, passions indicibles, et tisse d'un seul fil notre destinée.
Florian (Buffet de la gare de Genève, Hiver 2004)
3 commentaires:
Le poème je le connaissais déjà... j'aime beaucoup.... le dessin me rappelle un dessin qu'on devait faire à Ardévaz ou à St-Maurice je ne sais plus... j'adore...
Vraiment très sympa... Je suis vraiment content de voir que tu te mets toi aussi à envoyer des posts sur ce blog. Je t'enjoins à continuer... ;)
Oui !!! Je rejoins ce que disent les autres : continue !
J'aime beaucoup, je trouve que les mots utilisés sont très bien choisis!
Enregistrer un commentaire