Allez savoir pourquoi, mais dès que les beaux jours reviennent, et par beaux jours je veux surtout dire quand la chaleur est de retour, j'ai comme un impérieux besoin de ressortir mes livres de Ionesco de la bibliothèque. Serait-ce l'augmentation de la température qui me pousse à rechercher de la lecture plus absurde, plus enfiévrée et rigolarde? Va savoir!Toujours est-il que depuis quelques années déjà, l'été signe pour moi la plongée dans cette oeuvre géniale qui allie humour et angoisse existentielle, linguistique la plus pointue et simplicité du langage, théâtre intelligent et néanmoins divertissant, etc. Ah Ionesco, ce n'est que du bonheur! J'ai beau lire et relire La cantatrice chauve, je ne m'en lasse pas et surtout je ris toujours autant; et c'est assez rare de s'esclaffer à la lecture d'une pièce comique. Mais j'aurai pu citer d'autres pièces de lui que j'ai grandement appréciées : Rhinocéros (plutôt évident ce choix), Macbett (eh oui, rire du Macbeth de Shakespeare , il fallait oser), Le roi se meurt (ici apparaît un des thèmes réccurent de son oeuvre : l'angoisse face à la mort), L'impromptu de l'Alma (Ah, cette mise en abyme d'une mise en abyme d'une mise en abyme! Ceux qui connaissent la pièce comprendront, les autres n'ont qu'à la lire!) et tant d'autres encore.
Et dernièrement, bien que ce ne soit pas encore l'été (quoique, on pourrait presque s'y tromper...), un petit saut à la biblio et hop me voilà en possession du volume 5 des oeuvres complètes de Ionesco. La chaleur appelle Ionesco et Ionesco m'appelle. Que voulez-vous, on ne se refait pas...
Edouard
Et dernièrement, bien que ce ne soit pas encore l'été (quoique, on pourrait presque s'y tromper...), un petit saut à la biblio et hop me voilà en possession du volume 5 des oeuvres complètes de Ionesco. La chaleur appelle Ionesco et Ionesco m'appelle. Que voulez-vous, on ne se refait pas...
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