mercredi, août 15, 2007

Christophe

Je ne vais quand même pas me laisser ainsi insulter, non mais! J'ai quand même un minimum de dignité. Alors, je ne me suis peut-être pas encore présenté, mais ça ne saurait tarder. En attendant, prends-toi ça dans les dents, pituite!

Toi à la bouche ouverte comme une toilette,
Oh toi à l'allure et au faciès simiesque,
Quelle aura tu dégages avec ton gros squelette;
Qu'on a honte pour toi, blaireau carnavalesque!

Avec tes intonations tu es le poète
De l'Anglais. Quand tu le parles c'est comme quand tu pètes.
Avec ton Italien ça devient burlesque,
Quant à la courbe de tes reins, j'en tremble presque.

C'est pas ta faute, ta torsion testiculaire
T'as rendu presque eunuque. Il t'en faut du courage,
Afin d'ingurgiter autant de bols de glaires,

Que te crachent ardûment aussi bien profs qu'élèves.
Et ton parfum léger, pizza quatre fromages,
De cette manière ton triste portrait achève.

Beaudglaire
(aka Adoré Dousuraz)

J'espère avoir pu vous brosser un portrait suffisamment parlant du sieur.

1 commentaire:

Julien a dit…

Ce blog devient de plus en plus difficile à supporter pour mes prude-z-yeux...