jeudi, août 03, 2006

Pour nos petits canards


Sans vouloir transformer notre blog en canard et en espérant que vous ne serez pas comme une poule qui a couvé des canards, voici l'humour valaisan dans toute sa splendeur, un humour qui suit des canards bien trempés (Pour certaines personnes qui suivraient des études en lettres, l'auteur de ce post a voulu dire que c'était l'humour de fin de repas, lorsqu'on en est au digestif et il s'excuse de ne pas avoir été clair avec son style et sa tournure...) :

- Dans notre restaurant asiatique préféré, le canard n'est pas brillant ce soir, il est même épuisé. (dixit Fréd)
- Après la grippe aviaire, les canards sont fatigués. (dixit Edouard)

Il est certain que nous n'avons pas cassé trois pattes à un canard.

Pour terminer, il est vrai que ce post peut paraître lourd de part la répétition du mot "canard", cependant il est court, au contraire de certains posts où les répétitions font foisons et où elles sont appelées poésie. Il faut arrêter de vouloir modifier ce que les gens écrivent. Chacun a son point de vue. En toute amitié.

Fréd

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Bien le bonjour, mes chers petits canards en sucre que j'aime d'amour -sauf Florian dont la langue rapeuse n'est pas à mon goût; cette fois je pense sincèrement être dégoûté à vie des becs de canards, aussi sucrés soient-ils (les canards, pas les becs). Beau travail, grand fou, beau travail. Also nun, à la revoyure!

Anonyme a dit…

Wééé super, on casse du sucre sur mon dos! J'adore ça... Youpiie vive la vie.
Bon c'est pas tout de rire, j'm'en vas me pendre à la branche de mon ego démesuré!

Anonyme a dit…

coin-coin.

moi j'dis, il faut allumer un canard de la paix. on retourne se faire un chinois quand vous voulez.

:o)

Anonyme a dit…

Effectivement il faut qu'on aille brûler le canard et essayer de le noyer un peu dans la soupe.
Je te présente mes excuses publiques Edouard en espérant que tu les acceptes.